Usine à tourteaux

Nous sommes partis à la recherche de cette usine à tourteaux dans le Vexin, au milieu de la campagne. Au détour d’un petite route et enfin  nous y voila enfin. Nous voyons donc un grand bâtiment incongru. Une grande tour carrée, ornée de briques qui est reliée à une passerelle qui enjambe la route défoncé. Il n’y a aucun doute que cette architecture, bien qu’élégante vient  tout droit de l’ère industrielle. C’est la seule usine à des kilomètres à la ronde, dans cet univers champêtre. Elle est abandonnée depuis plus de 30 ans.

Elle fut construite à la fin des années 1930, cet ancien moulin servait à la fabrication de tourteaux, qui sont des gâteaux cylindriques composés de résidus de graines et destinés à l’alimentation animale et servant également le rôle d’engrais.

Les grains étaient stockés dans le bâtiment le plus haut et on les acheminait par la passerelle afins de les traiter. On mélangeait mélasse de betterave et graines afin de faire des cubes qui furent commercialisés sous la marque Totaliment. Le tout était automatisé et fonctionnaient à la vapeur et à l’électricité.

Il semblerait que cette usine est fonctionné jusque dans les années 1980, et son activité commençait à devenir peu rentable au début de cette décennie, un incendie précipitât sa fermeture.

Nous rentrons donc à l’intérieur et découvrons des monstres de fer tout rouillé, certains sont tombé du troisième étages, et d’autre restent accroché en haut on ne sait pas comment, vu qu’il n’y a plus de plafonds ni de sol entre les étages.

La couleur rouillé de ses monstres tranche avec les tags colorés qui sont affreux pour la plus part. Certaines machines semblent prête à redémarrer, on dirait que tous s’est figé en instant comme si quelqu’un était parti dans l’intention de revenir reprendre le travail. Nous explorons tout cela avec la plus grande prudence, vu que les sols sont très abimés et que les plafonds menace de s’effondrer.

Après cette belle découverte, car il est toujours impressionnant de voir ces vestiges d’une époque et les imaginer en activité, nous partons dans la forêt toute proche et découvrons les vestiges d’une ancienne gare dont il ne reste plus que un bâtiment délabré et un château d’eau qui devait servir pour les locomotives à vapeur, les railles ont totalement disparues.

Voilà, voilà, bonne visite…

Sanataurium d’Aincourt

Une petite exploartion d’un ancien sanataurium du vexin, nous montre un batiment vaste et ouvert à tous les vents. Son histoire nous dit que ce batiment se nommerait Docteur Vian et qu’il est aussi connu sous le nom de Pavillon des Hommes. On peut en déduire que les autorités de la santé publique de l’époque avait un vif intérêt quand à la recrudéssence de la tuberculose et aussi à limiter la contagion. Il fut construit dans un ancien parc entre 1931 et 1933, dâte de son ouverture. Ce sont les architectes Edourt Crevel et Paul-Jean Décaux qui le dessinairent. Il comprenait trois pavillons de malades, destinés aux hommes, aux femmes et aux enfants. Il y avait aussi des bâtements administratif et de services, ainsi que des logements pour le personnel. Les pavillons des malades sont disposé à 400 mètres l’un de l’autre et mesurent 220 mètres de long sur 12 mètres de large. Orienté sud-est, ils offrent tous les mêmes plans. D’autres bâtiments étaient destinés à l’ouest aux sevices médicuax, à l’est aux cuisines, refectoire et salle de loisir. Ils possèdaient tous trois niceaux de chambres disposé en gradins et un niveaux corresmpondant au toit-terrasse. Ces derniers ouvraient sur une galerie de cure ou un solarium…
On y accède depuis la forêt après une petite marche discrete. Lorsque l’on s’approche, on peut distingué une forme lugubre qui se déssine à travers les végéteaux. Une fois à l’intérieur nous constatons de long couloirs bordés de chambres avec balcon pour les malades, des escaliers et différentes pièces. On constate aussi la présence de nombreux de tagues, ce qui prouve que ce lieu est connu dans le milieu et aussi des piles de pneus qui laisse penser à un site de paintball.On peut aussi voir que la végétation y a repris ses droits.
Voilà tout est dit et bonne ballade.

La Défense de Paris

La Défense est un quartier d’affaires situé dans la métropole du Grand Paris et qui s’étend sur les trois communes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre. C’est le deuxième quartier d’affaires le plus attractif d’Europe après la Cité de Londres et le quatrième dans le monde. Il abrite les sièges de nombreuses entreprises françaises et étrangères. La Défense se situe dans le prolongement historique qui court du Musée du Louvre vers les Champs-Élysées et l’Arc de Triomphe et ce jusqu’à la Grande Arche de la Défense.
Il fut érigé à partir des années 1960 et est constitué majoritairement d’immeubles de grande hauteur, regroupant principalement des bureaux sur environ trois millions de mètres carrés. Pourtant La Défense est un quartier mixte puisqu’il est aussi composé de logements, d’un grand centre commercial et aussi d’universités.
Son nom lui vient du monument « La Défense de Paris » qui fut érigé à la gloire des soldats ayant défendu la ville durant la guerre franco-prussienne de 1870. Cette sculpture de Louis-Ernest Barrias en bronze fut inaugurée en 1883.
La Défense est connue pour son immense esplanade réservée aux piétons, son grand centre commercial les 4 temps, le CNIT et sa Grande Arche.
Par ces quelques photos, je vous laisse découvrir quelques-uns de ses secrets et qui, je l’espère, vous donneront envie d’y faire une petite escale.